Les mots que je me dis et les images que je projette

Ce que vous ressentez est caractérisé par deux choses : les images que vous projetez à votre cerveau et les mots que vous vous adressez.

Les personnes qui obtiennent ce qu’elles veulent, contrôlent ces deux choses.

Si vous utilisez les bons mots, vous réussissez. Si vous utilisez les mauvais mots, vous créez une mauvaise réalité. Parce que vos mots et vos images créent votre réalité.

Si vous vous répétez régulièrement «  je suis nul », vous savez quoi ? vous avez raison ; si vous vous répétez « je suis génial » : et bien, vous avez également raison. Le cerveau finit par croire tout ce que vous lui répétez.

Les paroles négatives disent à votre cerveau que vous vous sentez mal. A l’inverse, les paroles positives disent à votre cerveau que vous vous sentez bien.

Au lieu d’adresser à votre cerveau des mots chargés d’émotions désagréables,  inversez les expressions.

Imaginez : votre directeur veut vous voir pour faire un point sur votre travail. Vous vous dites « ça me stresse». Vous commencez à vous sentir mal, vous vous imaginez déjà entendre des reproches et  vous commencez à réagir comme si c’était la réalité. Panique à bord !

Si vous vous dites plutôt : « c’est un vrai défi pour moi », vous interprétez la situation complètement différemment. Vous êtes plus calme et posé. Il n’y a pas de lutte à l’intérieur de vous.

Quand vous rencontrez une situation difficile, changez la phrase « c’est difficile » en « c’est un défi ».

Même si vous n’y croyez pas, commencez à dire à votre cerveau par exemple « j’ai une super capacité d’adaptation, je suis capable de gérer chaque situation ». 

Ces mots envoient un message à votre cerveau qui crée une image de vous avec cette super capacité d’adaptation. Ensuite vous devenez cette image.

A force de le répéter, votre cerveau va finir par le croire.

Alors quand vous vous surprenez à avoir des pensées ou des images négatives, dites-vous « Stop » et corrigez de suite. Rééduquez votre cerveau. A force de répétitions, vous finirez par créer de nouvelles autoroutes neuronales.